GfbV (Threatened Peoples Association) Chef de bureau au Moyen-Orient Dr. Kamal Sido a publié un message par le biais de notre association pour la Journée mondiale de la liberté de la presse.
Kamal Sido appelle la Turquie à se conformer aux normes de l’UE et à la Constitution pour la liberté d’expression et pour la liberté de pensée.
L’Association publie des rapports chaque année, examinant les pays sous la pression. Une des raisons de la décision de l’association de reprendre la situation de la liberté de pensée et de la presse en Turquie est après le 15 juillet, où il y avait beaucoup de perte de travail et de centaines de journalistes arrêtés.
Dr. Kamal Sido a expliqué que les journalistes ont le droit d’exprimer ce qu’ils pensent de la situation politique du pays. Ils continue son message: ‘Je soutiens les journalistes qui ont du quitter leur pays.’
Tout le message de Dr. Kamal Sido, chef de bureau au Moyen-Orient GfbV (Threatened Peoples Association):
Chaque année, nous exprimons nos pensées à la presse du monde entier sur les situations publiques menacées. Cette année, nous avons décidé de traiter la situation de la pensée et de la liberté de la presse en Turquie dans le cadre d’un projet. Nous continuerons avec ce projet probablement l’année prochaine aussi. Nous avons choisi la Turquie à cause des fermeture des journaux et les journalistes qui ont été arrêtés l’année dernièreIl existe des informations sur près de 200 journalistes emprisonnés en Turquie. Ces journalistes ont exprimé leurs opinions et leurs réflexions sur la situation politique dans leur pays. C’est le droit le plus naturel des journalistes. La Turquie doit se conformer aux normes de l’UE et à la Constitution. De nombreux articles et passages de la Constitution turque l’interdisent et exigent que la liberté d’expression soit garantie. Notre décision de choisir la Turquie comme sujet cette année sont ces raison là. Nous savons que de nombreux journalistes ont dû fuir après le coup d’État de 2016. Beaucoup essaient de survivre en exil et dans des conditions très difficiles. Pour ces raisons, nous avons voulu travailler sur ce sujet. Nous soutenons ces journalistes et nous pensons que nous faisons quelque chose de bien.